ON APPREND TOUJOURS SEUL,
MAIS JAMAIS SANS LES AUTRES.
Philippe Carré
professeur des universités en sciences de l’éducation
vue aérienne institution Fénelon elbeuf
Cours collège-lycée Fénelon ELbeuf
Sortie école saint joseph oissel
manoir et bâtiment moderne institution Fénelon Elbeuf
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Actualités Fénelon collège-lycée

La naturaleza es el reflejo del alma » — Jorge Luis Borges (1899-1986)

« La nature est le reflet de l’âme »

Projet d’une fresque artistique et linguistique par la classe de 1ère STMG
Le jeudi 19 décembre, à 16h30, l’étude 2 de notre établissement a accueilli l’inauguration d’une fresque engagée pour environnement. Ce projet artistique et linguistique a été réalisé par les élèves d’espagnol LVB de la classe de 1ère STMG, avec
l’objectif de sensibiliser à la préservation de la nature.

Une inspiration venue de l’Uruguay
La fresque s’inspire du travail de l’artiste uruguayenne Florencia Durán Itzaina, reconnue pour ses œuvres qui mettent en valeur les liens entre l’homme et la nature. Avec son autorisation, les élèves se sont inspirés de trois de ses créations pour donner vie à leur
propre interprétation. L’artiste a même mentionné leur projet dans une story sur Instagram, valorisant ainsi leur initiative.

Florencia Durán Itzaina a adressé un message chaleureux aux élèves :
« Hola a todos los alumnos de Francia, qué lindo ver cómo el arte viaja para distintas partes, me encantó mucho la obra, así que sigan adelante pintando. Muchas gracias y me siento muy honrada. »
En français : « Bonjour à tous les élèves de France, c’est magnifique de voir comment l’art voyage dans différentes régions. J’ai beaucoup aimé l’œuvre, alors continuez à peindre. Merci beaucoup, je me sens très honorée. »
« Mains qui Protègent, Âmes qui Grandissent »
Intitulé « Manos que Cuidan, Almas que Crecen » en espagnol, notre mural met en scène des mains entrelacées, symbolisant l’union, sur un fond d’arbres et de végétation. Ce choix artistique illustre l’idée que la nature est un point de départ commun pour tous, un élément qui unit l’humanité au-delà des différences culturelles et sociales.

Fénelon fête Noël

Cette année, enseignants, élèves, vie scolaire ont décidé d’organiser de multiples ateliers après la célébration dans la chapelle.

Ce fut un après-midi festif durant lequel chacun a pu trouver un temps pour être dans l’esprit de Noël celui du partage et de la fraternité.

La first : des robots qui seront prêts pour le défi du 01/02/2025

On ne peut pas tout vous montrer, secret technologique oblige…et l’esprit de compétition nous y contraint. Les projets avancent, les élèves des classes de 4ème à la classe de première, filles et garçons, le général et le pro sont de la partie, d’anciens en étude sup viennent apporter leurs compétences, sous la supervision des équipes d’enseignants. On sollicite des entreprises, on s’installe dans des ateliers, dans des couloirs et dans des entreprises.

Les deux équipes assemblent, programment et testent. Des élèves et les enseignants, se sont engagés dans le management de projet en créant l’association, en recherchant des financements, des idées..

Prochain rendez-vous : le 1er février à Levallois-Perret..

Fénelon se souvient de la Grande guerre

La lecture de la plaque de ceux qui sont tombés pour la France lors de la première guerre mondiale, permet de relever, parmi d’autres, un enseignant et un ancien élève qui ont connu une fin tragique. Cette plaque se trouve dans la chapelle de l’établissement.

Octave LAJULE, prêtre et enseignant à Fénelon, de 1911 à 1914, a été tué par balle le 23 mai 1915 à Notre-Dame de Lorette dans le Pas de Calais. Il était sous-lieutenant au 174ème Régiment d’infanterie et avait 27 ans. Il avait été sergent au 24ème Régiment d’infanterie. A Fénelon, il enseignait pour les 3ème et 4ème et le français pour les lycéens.

Jean Rode, pilote d’avion, commandait une escadrille et lors d’une mission de reconnaissance au-dessus des lignes ennemies le 30 juin 1918, son avion, un Spad, a été abattu à Marfaux en Champagne. Il était capitaine et avait 30 ans. A Fénelon, il était élève au collège vers 1900.

C’est émouvant de mettre un visage et une histoire sur les noms et prénoms de celles et ceux qui sont morts pour la France.

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